William Marcheval

"Un cœur de geek, une âme d'artiste"

• Né en 1957
• Larts appliqués IMAGE Nîmes et école supèrieure Beaux-Arts
• Artiste & Passeur de savoir

Peintre un peu rêveur, geek passionné, je vous ouvre les portes de mon atelier et de mon cœur. Venez, je vous emmène...

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Premier chapitre : Les codes sources

Mon histoire n'a pas commencé sur les bancs d'une école d'art, mais par une quête de compréhension du monde. Né en 1957, j'ai rapidement obtenu mon bac à 17 ans, comme pour vite passer au chapitre suivant. Ce fut un engagement dans l'armée, où, loin de ne manier que la rigueur, j'ai appris à décoder le monde à travers l'ingénierie informatique et les sciences économiques. C'était ma façon à moi de percevoir la logique cachée, la poésie des systèmes qui nous entourent.

L'interlude numérique : une quête de sens

Dans les années 80, j'ai exploré le monde de l'entreprise. J'ai aimé les défis du commerce et de la communication, mais une petite musique jouait déjà en moi. En parallèle, je plongeais dans le grand bain du numérique et de l'infographie, fondant même ma propre entreprise. J'étais un pionnier, un "geek de la première heure", fasciné par ces nouveaux outils qui permettaient de créer des mondes. Pourtant, il manquait encore l'essentiel : le frisson du contact avec la matière, la chaleur d'une toile.

Le grand virage du cœur

Et puis, il y a eu l'évidence. Cet appel de l'art, si longtemps murmuré, est devenu un cri du cœur impossible à ignorer. C'était un rendez-vous que je ne pouvais plus manquer. Mon clavier s'est effacé devant mes pinceaux. Je suis retourné étudier, aux Beaux-Arts de Nîmes, pour apprendre le langage des maîtres et trouver ma propre voix. Depuis le début des années 2000, je vis enfin ma plus belle histoire d'amour : celle qui m'unit à la création, à plein temps, à plein cœur.

Mon univers : le dialogue secret des mondes

Mon atelier est un lieu de rencontres improbables. C'est là que les héros de fantasy murmurent à l'oreille des personnages de Hopper, que les paysages tourmentés de Turner servent de décor à une rêverie de Magritte. Mon imaginaire se nourrit à ces deux sources : la culture "geek" de mon adolescence, avec ses mondes fantastiques et ses épopées, et l'émotion infinie que me procurent les grands peintres. Ce sont les deux facettes de mon romantisme.

Mes secrets d'atelier : la palette des émotions

Chaque technique est une déclaration d'intention, une façon de toucher l'âme :

• L'acrylique et l'huile : mes complices pour raconter des histoires. Avec la magie du glacis et du sfumato, je cherche à créer cette profondeur mystérieuse, comme un souvenir qui affleure à la surface.
• L'aquarelle : avec ses bleus et ses blancs, elle est ma façon de peindre un souffle, une lumière, la fugacité d'un instant.
• Le pastel tendre : ma passion sensuelle. C'est un contact presque peau à peau avec la couleur, une caresse sur le papier qui libère une émotion brute et poudrée.

Mon travail est une invitation permanente à l'évasion, une porte ouverte sur un imaginaire que j'espère, nous partagerons. Alors, prêt(e) à rêver avec moi ?